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Citations et proverbes



Page 15 - Citations et proverbes sidonie gabrielle colette

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“Des cris variés, agréables comme des chants, s'envolent par les fenêtres, tourbillonnent dans la spirale de l'escalier comme des fleurs éclatantes.”

Sidonie Gabrielle Colette

1622 | 19-05-2013
“Les personnes valides croient toujours que de l'immobilité forcée naît l'ennui.”

Sidonie Gabrielle Colette

1621 | 19-05-2013
“Entre l'éclosion des oeufs et l'essor des oisillons, la tâche d'un couple de mésanges confond l'observateur.”

Sidonie Gabrielle Colette

1621 | 19-05-2013
“Je pèche souvent par orgueil, comme il arrive aux gens de petite origine qui se dégoûtent du milieu où ils sont nés.”

Sidonie Gabrielle Colette

1621 | 19-05-2013
“Sans soins et sans repos nocturne, que disait mon visage?”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013
“Rares sont mes jours sans cadeaux. Entendons-nous: je n'ai affaire presque qu'à des donateurs qui me connaissent bien, et savent comment pouvoir à ce que je nomme mon insatiable avidité.”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013
“Pourquoi suspendre la course de ma main sur ce papier qui recueille ... ce que je sais de moi, ce que j'essaie d'en cacher, ce que j'en invente et ce que j'en devine?”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013
“Il me montrait un visage si écarquillé, ouvert à toutes les conjectures, et si comique par sa nouveauté que ... je ne pus garder mon sérieux.”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013
“Mais rien n'empêchera plus qu'une ombre funeste, peu à peu, s'avance sur elle, ternisse sa saine pâleur rosée, sa carnation de tubéreuse.”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013
“Des cataplasmes d'amidon sur une brûlure: ça ne guérit pas, mais ça soulage à condition de les renouveler tout le temps.”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013
“Dans peu d'instants le lait bouillant, le café noir, le beurre reposé au fond du puits rempliraient leur office de panacée.”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013
“Ah! si du moins j'avais ressenti au coeur le battement, aux mains le froid annonciateur, dans tout le corps une célébration de l'angoisse.”

Sidonie Gabrielle Colette

1620 | 19-05-2013