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Citations et proverbes



Page 19 - Citations et proverbes emile zola

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“Dans ces batailles de l'argent, sourdes et lâches, où l'on éventre les faibles, sans bruit, il n'y a plus de liens, plus de parenté, plus d'amitié: c'est l'atroce loi des forts, ceux qui mangent pour ne pas être mangés.”

Emile Zola

1868 | 19-05-2013
“Ce qui est juste est juste, lors même que le monde devrait crouler.”

Emile Zola

1868 | 19-05-2013
“Il payait pour détourner sur son fonds l'eau pluviale des fossés, il payait pour la poussière des chemins.”

Emile Zola

1868 | 19-05-2013
“On parlait très fort, avec des éclats de voix qui déchiraient le murmure gras des enrouements.”

Emile Zola

1868 | 19-05-2013
“La mort n'était bonne que parce qu'elle supprimait l'être d'un coup, pour toujours. Oh! dormir comme les pierres, rentrer dans l'argile, n'être plus!”

Emile Zola

1868 | 19-05-2013
“La paroisse n'avait que trois chasubles: une violette, une noire et une d'étoffe d'or ... Le tissu, limé aux plis, laissait échapper de minces houppettes; les ornements en relief se rongeaient et s'effaçaient.”

Emile Zola

1867 | 19-05-2013
“Marguerite prit la chaise par le dossier, et la traîna, renversée, sur les pieds de derrière, qu'un tel charriage usait à la longue.”

Emile Zola

1867 | 19-05-2013
“Et il eut la surprise de reconnaître madame Théodore et la petite Céline, toutes les deux proprement vêtues, l'air à leur aise.”

Emile Zola

1867 | 19-05-2013
“Hein? tu as le toupet!... Un vieux de trente-trois ans épouser une jeunesse de dix-huit! Rien que quinze ans de différence! Est-ce que ce n'est pas une dégoûtation?... On t'en donnera, des poulettes, pour ton sale cuir!”

Emile Zola

1866 | 19-05-2013
“Elle leva les mains, regarda Florent une dernière fois, s'assit sur la banquette rembourrée du comptoir, ne desserra plus les dents.”

Emile Zola

1866 | 19-05-2013
“Elle l'appelait «ma chérie», et lui ramenait sur le front deux accroche-coeur qui s'envolaient.”

Emile Zola

1866 | 19-05-2013
“L'amant lui faisait peur, cette peur folle qui blêmit la femme à l'approche du mâle.”

Emile Zola

1866 | 19-05-2013