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Citations d'Emile Zola
Page 16 - Citations et proverbes emile zola
351 Citations dans cette catégorie.
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“L'argent, jusqu'à ce jour, était le fumier dans lequel poussait l'humanité de demain; l'argent, empoisoneur et destructeur, devenait le ferment de toute végétation sociale, le terreau nécessaire aux grands travaux qui facilitent l'existence.”
Emile Zola
1852
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19-05-2013
“On guérit d'un coup de poignard, tandis que les coups de plume sont empoisonnés.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“Dans ces batailles de l'argent, sourdes et lâches, où l'on éventre les faibles, sans bruit, il n'y a plus de liens, plus de parenté, plus d'amitié: c'est l'atroce loi des forts, ceux qui mangent pour ne pas être mangés.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“Je n'ai guère de souci de beauté ni de perfection. Je me moque des grands siècles. Je n'ai souci que de vie, de lutte, de fièvre. Je suis à l'aise parmi notre génération.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“Quand on entrait dans la bergerie, une odeur forte suffoquait, l'exhalaison ammoniacale de la litière, de l'ancienne paille sur laquelle on remettait de la paille fraîche pendant trois mois.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“Bientôt une sorte de griserie lui vint de toute cette terre remuée, qui exhalait une odeur forte, l'odeur des coins humides où fermentent les germes.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“La vie commune n'était plus que le contact obligé de deux êtres liés l'un à l'autre, passant des journées entières sans échanger une parole, allant et venant côte à côte, comme étrangers désormais, indifférents et solitaires.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“Depuis les dernières averses de l'été, la nappe verte, toujours grandissante, avait peu à peu jauni. C'était maintenant une mer blonde, incendiée, qui semblait refléter le flamboiement de l'air, une mer roulant sa houle de feu, au moindre souffle.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“C'était, à gauche de la fenêtre, la frise de chêne qu'ils avaient déplacée, puis remise, pour cacher, dessous, la montre et les dix mille francs.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“T'es une bonne femme, bégayait-il. Faut que je t'embrasse. Mais il s'emberlificota dans les jupons, qui lui barraient le chemin et faillit tomber.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“Elle s'empourpra, lorsqu'elle voulut, elle aussi, envoyer son mot de tendresse au blessé.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
“Elle dont la susceptibilité de paysanne fière se blessait d'un regard.”
Emile Zola
1851
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19-05-2013
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