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Citations et proverbes



Page 2 - Citations et proverbes roland dorgelès

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“Dès qu'il parlait, c'était des tranchées, de barbelé, de veille, de macaroni, de barrage, de gaz, de tout ce cauchemar qu'il ne pouvait oublier.”

Roland Dorgelès

1954 | 19-05-2013
“Il n'y a plus de place que pour les incapables. Routiniers ou brûle-tout: pas de milieu.”

Roland Dorgelès

1921 | 19-05-2013
“Un frisson d'acier courut tout le long de la tranchée.”

Roland Dorgelès

1890 | 19-05-2013
“Des mitrailleuses fauchaient le village. Des hommes s'effondraient pliés en deux, comme emportés par le poids de leur tête.”

Roland Dorgelès

1877 | 19-05-2013
“Comme l'homme est dur, malgré ses cris de pitié, comme la douleur des autres lui semble légère, quand la sienne n'y est pas mêlée !”

Roland Dorgelès

1873 | 19-05-2013
“En tête, la musique jouait la marche du régiment, et, à la reprise victorieuse des clairons, il me semble que les dos las se redressaient.”

Roland Dorgelès

1861 | 19-05-2013
“Les jurons, les râles, le canon, tous les bruits de notre pauvre vie de bêtes, cela ne pouvait pas endurcir notre âme et flétrir sa tendresse infinie.”

Roland Dorgelès

1861 | 19-05-2013
“Ca te va bien de parler d'attaque, toi qui t'es toujours planqué, foireux !”

Roland Dorgelès

1856 | 19-05-2013
“Couchés au bord de l'entonnoir, quelques soldats guettaient, l'oeil au ras de l'herbe; les autres discutaient entassés dans le trou.”

Roland Dorgelès

1852 | 19-05-2013
“Le canon tonnait moins fort, mais, par les soupiraux, des mitrailleuses fauchaient le village.”

Roland Dorgelès

1850 | 19-05-2013
“Rien que sa façon de hocher la tête en répétant: «Je crois qu'ils nous ont»... aurait découragé un régiment à fourragère.”

Roland Dorgelès

1850 | 19-05-2013
“Nous faisions le gros dos sous la pluie.”

Roland Dorgelès

1849 | 19-05-2013