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Citations et proverbes



Page 57 - Citations et proverbes paul valéry

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“Les plus «profondes» questions du monde: - - Comment n'as-tu pas pensé à cela? - - Et toi, comment y as-tu pensé?”

Paul Valéry

1967 | 19-05-2013
“Filles des nombres d'or - Fortes des lois du ciel - Sur nous tombe et s'endort - Un dieu couleur de miel.”

Paul Valéry

1967 | 19-05-2013
“L'être qui travaille se dit: Je veux être plus intelligent, plus puissant, plus heureux que Moi.”

Paul Valéry

1966 | 19-05-2013
“C'est là véritablement traduire, qui est de reconstituer au plus près l'effet d'une certaine cause, - ici un texte de langue espagnole au moyen d'une autre cause, - un texte de langue française.”

Paul Valéry

1966 | 19-05-2013
“La politique fut d'abord l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. A une époque suivante, on y adjoignit l'art de contraindre les gens à décider sur ce qu'ils n'entendent pas.”

Paul Valéry

1966 | 19-05-2013
“L'objet d'un vrai critique devrait être de découvrir quel problème l'auteur s'est posé (sans le savoir ou le sachant) et de chercher s'il l'a résolu ou non.”

Paul Valéry

1966 | 19-05-2013
“L'esprit clair fait comprendre ce qu'il ne comprend pas.”

Paul Valéry

1965 | 19-05-2013
“Je vous laisse le choix du mensonge qui vous paraîtra le plus digne d'être la vérité.”

Paul Valéry

1964 | 19-05-2013
“Le style résulte d'une sensibilité spéciale à l'égard du langage. Cela ne s'acquiert pas; mais cela se développe.”

Paul Valéry

1963 | 19-05-2013
“Au commencement était la Blague. Et en effet, toutes les histoires s'approfondissent en fables. Tout commence invariablement par des contes. La Genèse, l'exposition du Système du Monde: naissance dans un chou.”

Paul Valéry

1963 | 19-05-2013
“Nous autres poètes contraints à bêtiser - à dire en chantant ce qui est impensable à froid.”

Paul Valéry

1963 | 19-05-2013
“Pour le haschischin, un mot, une sentence faite de mots comme il en vient en rêve, - lui ouvre le paradis de la compréhension infinie. Il croit comprendre comme le rêveur croit voler.”

Paul Valéry

1961 | 19-05-2013