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Citations et proverbes



Page 5 - Citations et proverbes maurice barrès

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“Ils s'accrochaient avec l'énergie du désespoir aux pentes de la colline.”

Maurice Barrès

1846 | 19-05-2013
“Ils ne connaissent que la guerre entre les classes et cette guerre ne connaît pas de frontière. Ils ne travaillent pas pour la paix, mais pour établir la guerre entre les étages. Ils s'en prennent à tous les gouvernements bourgeois de tout l'univers.”

Maurice Barrès

1843 | 19-05-2013
“Nous sommes étonnés, quand nous lisons les vieux chefs-d'oeuvre, de voir que des sentiments subtils, délicats, poétiques, que nous croyons rares aujourd'hui, existaient chez les hommes d'il y a des siècles.”

Maurice Barrès

1842 | 19-05-2013
“Autour de Bosserville les grands vents tourmentent le ciel et balayent la Lorraine dont le coeur sommeille.”

Maurice Barrès

1842 | 19-05-2013
“Un bel appareillage romain misérablement consolidé à travers les siècles.”

Maurice Barrès

1842 | 19-05-2013
“(Rousseau,) cet extravagant musicien.”

Maurice Barrès

1842 | 19-05-2013
“Telle était la fatigue de son long voyage qu'il s'endormit, malgré le trouble extrême de sa pensée, de ce sommeil obscur de la bête recrue, où il n'y a plus place même pour le rêve.”

Maurice Barrès

1840 | 19-05-2013
“De jeunes figures animées de vaillance se hissaient le long du mur avec une agilité et une malice toutes simiesques.”

Maurice Barrès

1840 | 19-05-2013
“C'est une fourmillière heureuse, une famille dont tous les membres se congratulent, une espèce de victoire, une première revanche.”

Maurice Barrès

1839 | 19-05-2013
“Sa voix, son regard, tout son corps, étaient plus frémissants que les flammes irrésistibles qui commençaient d'embraser de toutes parts la ville prise.”

Maurice Barrès

1839 | 19-05-2013
“Il était jeune, enivré par ses succès, amoureux tout frais de sa cause.”

Maurice Barrès

1839 | 19-05-2013
“La veillée autour du feu de la cuisine. Tout en écossant les légumes pour l'hiver, on causait des menus événements du jour, et Bibi Cholion faisait des plaisanteries dont les soeurs s'amusaient. C'était le couarail ordinaire des villages lorrains.”

Maurice Barrès

1839 | 19-05-2013