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Citations et proverbes



Page 46 - Citations et proverbes marcel proust

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“Je compris combien il est compréhensible que les gens aisément refusent la fortune et risquent la mort, alors qu'on se figure que l'intérêt et la peur de mourir mènent le monde.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“L'esprit a ses paysages dont la contemplation ne lui est laissée qu'un temps.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“On continue de brûler des cierges et de consulter des médecins.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“Tâchez de garder toujours un morceau de ciel au dessus de votre vie.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“Car bien souvent, pour que nous découvrions que nous sommes amoureux, peut-être même pour que nous le devenions, il faut qu'arrive le jour de la séparation.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“Dans ce livre où il n'y a pas un seul fait qui ne soit fictif, où il n'y a pas un seul personnage «à clef», où tout a été inventé par moi selon les besoins de ma démonstration ...”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“Théoriquement on sait que la terre tourne, mais en fait on ne s'en aperçoit pas, le sol sur lequel on marche semble ne pas bouger et on vit tranquille. Il en est ainsi du Temps dans la vie.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“La guerre, disait-il, n'échappe pas aux lois de notre vieil Hegel. Elle est en état de perpétuel devenir.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“Elle trouvait à tous ses bibelots chinois des formes «amusantes», et aussi aux orchidées, aux catleyas surtout, qui étaient, avec les chrysanthèmes, ses fleurs préférées.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“On restait à se chauffer dans la salle à manger où l'oncle de Jean allait à toute minute frapper le baromètre pour voir si le beau temps ne revenait pas.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“La princesse était fort riche; elle avait à toutes les premières une grande baignoire où, avec l'autorisation de Mme Verdurin, elle emmenait les fidèles et jamais personne d'autre.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013
“Quelquefois vos paroles me reviennent comme un écho lointain, comme le son d'une cloche apporté par le vent. J'avais toujours au fond de moi-même la musique de votre voix et la splendeur de vos yeux.”

Marcel Proust

2092 | 19-05-2013