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Citations et proverbes



Page 15 - Citations et proverbes marcel pagnol

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“Maudit soit l'oppresseur qui vient avec un fouet et qui nous méprise parce qu'il nous opprime.”

Marcel Pagnol

1802 | 17-05-2013
“Il faut se méfier des ingénieurs, ça commence par la machine à coudre, ça finit par la bombe atomique.”

Marcel Pagnol

1801 | 17-05-2013
“A cette attaque frontale, l'oncle, la moustache brusquement hérissée, allait répondre avec vigueur.”

Marcel Pagnol

1800 | 19-05-2013
“Quand le vin est tiré, il faut le boire, même s'il est bon.”

Marcel Pagnol

1796 | 19-05-2013
“La vie, c'est comme un autobus; quand tu te retournes, tu t'aperçois qu'il y en a déjà beaucoup qui sont descendus.”

Marcel Pagnol

1796 | 19-05-2013
“Panisse: - Si tu continues à faire des grimaces, je fous les cartes en l'air et je rentre chez moi. César: - Ne vous fâchez pas, Panisse, ils sont cuits.”

Marcel Pagnol

1790 | 19-05-2013
“Il est parfois difficile de savoir qui, dans une famille, commande: le mari, la femme, la belle-mère, ou la cuisinière. Mais le chien de la maison, lui, ne s'y trompe jamais.”

Marcel Pagnol

1790 | 19-05-2013
“Je suis comme le tambour de Cassis, à qui on devait donner deux sous pour qu'il commence à parler et cinq francs pour qu'il accepte de s'arrêter.”

Marcel Pagnol

1788 | 18-05-2013
“Je ne peux pas vous le dire à tous à la fois, et si vite que ça. Parce qu'un secret, ce n'est pas quelque chose qui ne se raconte pas. Mais c'est une chose qu'on se raconte à voix basse, et séparément.”

Marcel Pagnol

1786 | 19-05-2013
“S'il faut toujours dire la vérité à la clientèle, il n'y a pas de commerce possible.”

Marcel Pagnol

1785 | 19-05-2013
“Ce n'est que bien plus tard que je découvris l'effet le plus surprenant de ma nouvelle vie scolaire: ma famille, ma chère famille, n'était plus le centre de mon existence. Je ne la voyais qu'aux repas du soir.”

Marcel Pagnol

1782 | 19-05-2013
“A-t-on besoin de naviguer pour vivre? Mossieur Panisse navigue? Non pas si bête lui, il fait des voiles pour que le vent emporte les enfants des autres!”

Marcel Pagnol

1782 | 19-05-2013