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Citations et proverbes



Page 9 - Citations et proverbes jean-marie gustave le clézio

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“La bulle verte se gonfle, se distend, puis elle explose avec un bruit sec.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1797 | 19-05-2013
“Est-ce qu'une pensée, d'un individu à l'autre, d'un siècle à l'autre s'affine? Elle change, cela est sûr, elle s'adapte. Mais progresse-t-elle?”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1796 | 19-05-2013
“Regardant les vols disloqués des mouettes dans le ciel du soir.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1796 | 19-05-2013
“Oh! poisson, petit poisson d'or, prends bien garde à toi! Car il y a tant de lassos et de filets tendus pour toi dans ce monde.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1795 | 19-05-2013
“Les hommes savaient bien que le désert ne voulait pas d'eux: alors ils marchaient sans s'arrêter, sur les chemins que d'autres pieds avaient déjà parcourus, pour trouver autre chose.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1794 | 19-05-2013
“C'est un embrouillamini de tissage avec des noeuds, des couleurs placées, des pâtés noirâtres.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1792 | 19-05-2013
“Qui invente? Qui dit quelque chose? Les hommes croient que c'est eux, mais ce n'est pas vrai. C'est seulement l'usine électrogène qui émet ses ondes pour les cerveaux de filaments de tungstène. Personne ne sait cela.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1791 | 19-05-2013
“Mais cet oeil n'existe pas, pas plus que ces mains, que cette guitare, ce paysage où passe un boutre brouillardeux.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1791 | 19-05-2013
“J'ouvre les yeux, la mer et la lumière me brûlent jusqu'au fond de mon corps, mais j'aime cela. Je respire, je suis libre. Déjà je suis portée par le vent, par les vagues. Le voyage a commencé.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1790 | 19-05-2013
“Il y a, derrière chaque parcelle vivante, tant de misère et tant d'abandon qu'il n'est pas possible d'oublier.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1781 | 19-05-2013
“Je pensais que dans le fond, Paul était un type malheureux, complexé et tout, et qui voulait cacher sa personnalité.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1781 | 19-05-2013
“Dans la salle d'abattoir blanche et rouge, frappe le coup sourd du marteau au clou acéré qui entre très vite dans la nuque du boeuf.”

Jean-Marie Gustave Le Clézio

1781 | 19-05-2013