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Citations et proverbes



Page 13 - Citations et proverbes jean giono

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“Surveille tes ruches et prends tes dispositions d'hiver. Les avettes si rudes au travail sont faibles sous les longues nuits.”

Jean Giono

1630 | 19-05-2013
“Homme plus libre que la liberté des fumées, si seulement tu comprenais ta grande liberté.”

Jean Giono

1630 | 19-05-2013
“Et maintenant, elle vous regarde bien en face, avec des yeux suppliants et incendiés.”

Jean Giono

1627 | 19-05-2013
“Et ça s'est débouché tout d'un coup, ça a coulé, clair, puis épais, puis clair encore, la lie et le vin mélangés, comme si la bonde avait sauté d'un tonneau oublié.”

Jean Giono

1626 | 19-05-2013
“Les créations fascistes ne sont que l'oeuvre d'un homme multipliée. Ce sont de simples créations de démesure; elles ont l'âme tragique de la démesure.”

Jean Giono

1625 | 19-05-2013
“Je ne crois pas que les révolutions soient des assassinats, ou alors je m'en désiste. On le sait. C'est pourquoi on tire sur moi à boulets rouges, des deux côtés.”

Jean Giono

1625 | 19-05-2013
“On doit pas toujours garder la même mère, on doit changer. La première, elle a encore dans elle le moule de quand on était petit et les seins sensibles. Elle ne sait pas qu'on peut plus rentrer d'où on est sorti.”

Jean Giono

1624 | 19-05-2013
“Elle se mit à fourgonner dans son poêle avec un gros tisonnier de fer.”

Jean Giono

1621 | 19-05-2013
“Le chat gris qu'il avait dérangé dans le salon, la nuit passée, mit la tête à la chattière ..., se glissa en dépêtrant ses pattes du trou, une après l'autre, et vint se frotter à lui en ronronnant.”

Jean Giono

1621 | 19-05-2013
“Dans les fermes des collines les juments ne sont pas grasses et lourdes; comme on attend d'elles moins gros travail que bonne espérance de poulains, on les laisse galoper dans les hauts campas.”

Jean Giono

1617 | 19-05-2013
“Ils bâtissent avec des pierres et ils ne voient pas que chacun de leurs gestes pour poser la pierre dans le mortier est accompagné d'une ombre de geste qui pose une ombre de pierre dans une ombre de mortier. Et c'est la bâtisse d'ombre.”

Jean Giono

1610 | 19-05-2013
“La grand-mère: Elle ne peut pas te faire de mal, mon petit. Puisqu'elle est morte. - Jean: Elle est plus que morte, grand-mère, elle est morte rien que pour moi.”

Jean Giono

1607 | 19-05-2013