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Citations et proverbes



Page 10 - Citations et proverbes georges bernanos

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“On peut faire très sérieusement ce qui vous amuse, les enfants nous le prouvent tous les jours... Exactement comme on peut faire avec bonne humeur ce qui vous ennuie...”

Georges Bernanos

1944 | 19-05-2013
“Les déroutes ne se rachètent que par des victoires, la paresse et la lâcheté que par un élan de courage et d'audace.”

Georges Bernanos

1936 | 19-05-2013
“Ce qui rend la corruption, ou même la simple médiocrité des élites, si funeste, c'est la solidarité qui lie entre eux tous leurs membres, corrompus ou non corrompus, dans la défense du prestige commun.”

Georges Bernanos

1936 | 19-05-2013
“La vie n'apporte aucune désillusion, la vie n'a qu'une parole, elle la tient.”

Georges Bernanos

1936 | 19-05-2013
“Je ne suis pas un écrivain. La seule vue d'une feuille de papier blanc me harasse l'âme. L'espèce de recueillement physique que m'impose un tel travail m'est si odieux que je l'évite autant que je puis.”

Georges Bernanos

1935 | 19-05-2013
“En somme, nous n'étions jamais sortis de l'enfance, nous inventions la Vie, au lieu de la vivre.”

Georges Bernanos

1935 | 19-05-2013
“Nul ne sait mieux que lui soigner un cheval, désenfler d'un coup de trocart la bête bourrée de trèfle frais.”

Georges Bernanos

1935 | 19-05-2013
“Sur ces étonnantes paroles, il sortit, laissant M. de Clergerie béant.”

Georges Bernanos

1935 | 19-05-2013
“Seulement, un litre, dame! lorsqu'on a déjà son compte! J'ai dû m'arrêter de biberonner, à bout de souffle.”

Georges Bernanos

1935 | 19-05-2013
“La guerre Totale est la Société moderne elle-même, à son plus haut degré d'efficience.”

Georges Bernanos

1931 | 19-05-2013
“Le monde vit d'illusion, c'est-à-dire de prestiges, et c'est un grand malheur pour beaucoup que se substitue au prestige des personnes ou même des uniformes, le prestige plus médiocre encore des mots.”

Georges Bernanos

1931 | 19-05-2013
“Je pensais à ces bestiaux que j'entendais tousser dans le brouillard et que le petit vacher, revenant de l'école, son cartable sous le bras, mènerait tout à l'heure à travers les pâtures trempées, vers l'étable chaude, odorante.”

Georges Bernanos

1931 | 19-05-2013