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Citations et proverbes



Page 12 - Citations et proverbes alphonse daudet

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“L'oeuvre qu'on portait en soi paraît toujours plus belle que celle qu'on a faite. Tant de choses se perdent en ce voyage de la tête à la main!”

Alphonse Daudet

1785 | 19-05-2013
“Ils avaient fini par croire que la race des meuniers était éteinte.”

Alphonse Daudet

1781 | 19-05-2013
“Ce qui me frappa d'abord, à mon arrivée au collège, c'est que j'étais le seul avec une blouse.”

Alphonse Daudet

1779 | 19-05-2013
“Le vent d'est s'était acharné après nous, et la mer ne décolérait pas.”

Alphonse Daudet

1779 | 19-05-2013
“Et jusqu'au milieu de la rue, Jean Peyrol et sa femme l'accompagnent de leurs bénédictions.”

Alphonse Daudet

1779 | 19-05-2013
“Il y a deux Midi. Le Midi bourgeois, le Midi paysan. L'un est comique, l'autre est splendide.”

Alphonse Daudet

1776 | 19-05-2013
“Un regard froid, sans expression, plus redoutable que les plus violentes engueulades de bateau-lavoir.”

Alphonse Daudet

1773 | 19-05-2013
“O choses de mon enfance, quelle impression vous m'avez laissée!”

Alphonse Daudet

1773 | 19-05-2013
“C'est qu'ils ne me sortaient plus de la tête, ces grands démons d'yeux noirs. Je les retrouvais partout. J'y pensais toujours, en travaillant, en dormant... C'était une obsession.”

Alphonse Daudet

1770 | 19-05-2013
“Toutes connues, archi-connues, banales à faire pleurer, ces effigies des fêtes parisiennes.”

Alphonse Daudet

1770 | 19-05-2013
“Du jour de ma naissance, d'incroyables malheurs les assaillirent par vingt endroits.”

Alphonse Daudet

1769 | 19-05-2013
“Je vais t'envoyer dans un collège communal... Là tu feras ton apprentissage d'homme, tu t'aguérriras au métier...”

Alphonse Daudet

1769 | 19-05-2013