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Citations et proverbes



Page 38 - Citations et proverbes alfred de musset

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“Le Ciel de ses élus devient-il envieux? Ou faut-il croire, hélas! ce que disaient nos pères, Que lorsqu'on meurt si jeune on est aimé des dieux?”

Alfred de Musset

1954 | 19-05-2013
“Je veux dire ceci: que l'amour est immortellement jeune, et que les façons de l'exprimer sont et demeureront éternellement vieilles.”

Alfred de Musset

1954 | 19-05-2013
“Ninon, Ninon, que fais-tu de la vie? L'heure s'enfuit, le jour succède au jour. Rose ce soir, demain flétrie. Comment vis-tu, toi qui n'as pas d'amour?”

Alfred de Musset

1954 | 19-05-2013
“Je vis d'abord sur moi des fantômes étranges Traîner de longs habits; Je ne sais si c'étaient des femmes ou des anges! Leurs manteaux m'inondaient avec leurs belles franges De nacre et de rubis.”

Alfred de Musset

1953 | 19-05-2013
“Je suis un brave cueilleur de fleurs, qui souhaite le bonjour à vos beaux yeux.”

Alfred de Musset

1953 | 19-05-2013
“On aime les mystères et on les redoute.”

Alfred de Musset

1953 | 19-05-2013
“L'amitié, camarade, est semblable à la coupe Qui passe, au coin du feu, de la main à la main. L'un y boit son bonheur, et l'autre sa misère.”

Alfred de Musset

1951 | 19-05-2013
“Le regret d'un instant te trouble et te dévore; Tu dis que le passé te voile l'avenir. Ne te plains pas d'hier; laisse venir l'aurore: Ton âme est immortelle, et le temps va s'enfuir.”

Alfred de Musset

1949 | 19-05-2013
“Mes premiers vers sont ceux d'un enfant, - Les seconds d'un adolescent, - Les derniers à peine d'un homme.”

Alfred de Musset

1949 | 19-05-2013
“Puisque c'est par toi que j'expire, Ouvre ta robe, Déjanire, Que je monte sur mon bûcher.”

Alfred de Musset

1948 | 19-05-2013
“Je sommeillais seulement à demi, A côté d'un brin de verveine Dont le parfum vivait à peine, Et qu'en rêvant j'avais cueilli.”

Alfred de Musset

1948 | 19-05-2013
“Songez que je suis ce qu'il aime le mieux, presque sa seule joie sur la terre. S'il venait à me perdre, je ne sais vraiment pas comment il supporterait ce malheur.”

Alfred de Musset

1948 | 19-05-2013