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Citations et proverbes



Page 9 - Citations et proverbes stefan zweig

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“Elle n'avait jamais su l'importance que peut revêtir un individu pour un autre, car elle n'avait jamais été solitaire.”

Stefan Zweig

1623 | 19-05-2013
“... cet homme possédait le pouvoir magique d'exprimer ses sentiments par le mouvement et par le geste.”

Stefan Zweig

1623 | 19-05-2013
“... ceux qui tombent entraînent souvent dans leur chute ceux qui se portent à leur secours.”

Stefan Zweig

1622 | 19-05-2013
“Celui qui n'est pas passionné devient tout au plus un pédagogue; c'est toujours par l'intérieur qu'il faut aller aux choses, toujours, toujours en partant de la passion.”

Stefan Zweig

1619 | 19-05-2013
“... toute vie qui ne se voue pas à un but déterminé est une erreur.”

Stefan Zweig

1615 | 19-05-2013
“Ceux qui tombent entraînent souvent dans leur chute ceux qui se portent à leur secours.”

Stefan Zweig

1615 | 17-05-2013
“Séparés tout ce temps par une distance infranchissable, ils ressentaient désormais avec une violence décuplée cette proximité retrouvée qui se passait de mots.”

Stefan Zweig

1613 | 19-05-2013
“Pensez vos propres pensées et non pas les miennes! Vivez votre vie! Ne me suivez pas aveuglément, restez libres! Celui qui pense librement pour lui-même honore toute liberté sur terre.”

Stefan Zweig

1612 | 19-05-2013
“Dans toute action qu'on entreprend, il y a quelque chose qui finit, à la longue, par vous déformer.”

Stefan Zweig

1612 | 17-05-2013
“L'individu doit être plus fort que l'idée, il faut seulement qu'il reste lui-même, qu'il n'abdique pas sa propre volonté. Il faut seulement qu'il sache qu'il est un homme et qu'il veut le rester.”

Stefan Zweig

1611 | 19-05-2013
“Etant elle-même beauté, la jeunesse n'a pas besoin de sérénité: dans l'excès de ses forces vives, elle se laisse volontiers vampiriser par la mélancolie.”

Stefan Zweig

1606 | 19-05-2013
“... que peuvent se rappeler en effet les femmes de leur âme de jeune fille assoiffée de miracles dont les songes sont pareils à des fleurs blanches, fines et délicates, emportées par le premier souffle de la réalité?”

Stefan Zweig

1604 | 19-05-2013