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Citations et proverbes



Page 43 - Citations et proverbes paul valéry

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“Nos contacts avec l'étranger, qu'il soit ami, ennemi ou neutre, ne laissent pas de nous rendre de plus en plus sensibles à notre personnalité française.”

Paul Valéry

1829 | 19-05-2013
“Le but de l'enseignement n'étant plus la formation de l'esprit, mais l'acquisition du diplôme, c'est le minimum exigible qui devient l'objet des études.”

Paul Valéry

1829 | 19-05-2013
“Trouver n'est rien. Le difficile est de s'ajouter ce qu'on trouve.”

Paul Valéry

1829 | 19-05-2013
“«L'Avenir» est la parcelle plus sensible de l'instant.”

Paul Valéry

1829 | 19-05-2013
“L'espoir voit un défaut de la cuirasse des choses.”

Paul Valéry

1829 | 19-05-2013
“Toute vue de choses qui n'est pas étrange est fausse. Si quelque chose est réelle, elle ne peut que perdre de sa réalité en devenant familière. Méditer en philosophe, c'est revenir du familier à l'étrange, et dans l'étrange affronter le réel.”

Paul Valéry

1829 | 19-05-2013
“L'inconvénient des richesses est qu'elles conduisent à l'agitation, elles qui permettraient le calme.”

Paul Valéry

1828 | 19-05-2013
“L'erreur des mathématiciens, hors des mathématiques, est de raisonner avec des notions impures comme ils raisonnent en mathématiques avec des notions pures.”

Paul Valéry

1828 | 19-05-2013
“Il suffit d'avoir écrit soi-même pour savoir à quel point ce que l'on écrit diffère de soi-même et combien ce que l'on n'écrit pas est plus important.”

Paul Valéry

1828 | 19-05-2013
“Je n'aime pas les idées des autres, et c'est pour ne pas faire des miennes les idées des autres, que je ne les ai pas publiées.”

Paul Valéry

1828 | 19-05-2013
“Tout ceci demande à la fois un regard sur le monde entier et un retour sur nous-même. Le temps n'est plus où il suffisait de se considérer et de s'étudier pour se connaître. Nous sommes aujourd'hui ce que les autres font de nous.”

Paul Valéry

1828 | 19-05-2013
“Proverbe pour les puissants: Si quelqu'un te léche les bottes, mets-lui le pied dessus avant qu'il ne commence à te mordre.”

Paul Valéry

1828 | 19-05-2013