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Citations et proverbes



Page 21 - Citations et proverbes jean-paul sartre

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“Tu vis en l'air, tu as tranché tes attaches bourgeoises, tu n'as aucun lien avec le prolétariat, tu flottes, tu es un abstrait, un absent.”

Jean-Paul Sartre

1967 | 19-05-2013
“C'est ça le temps, le temps tout nu, ça vient lentement à l'existence, ça se fait attendre et quand ça vient, on est écoeuré parce qu'on s'aperçoit que c'était déjà là depuis longtemps.”

Jean-Paul Sartre

1966 | 19-05-2013
“Je ne m'y reconnais plus; vous m'avez embrouillée; vous pensez trop vite pour moi.”

Jean-Paul Sartre

1962 | 19-05-2013
“Il avait sommeil et des élancements violents lui trouaient le crâne; il aurait aimé dormir et ne plus penser à rien.”

Jean-Paul Sartre

1962 | 19-05-2013
“Respirant, digérant, déféquant avec nonchalance, je vivais parce que j'avais commencé à vivre.”

Jean-Paul Sartre

1962 | 19-05-2013
“Le monde peut fort bien se passer de la littérature. Mais il peut se passer de l'homme encore mieux.”

Jean-Paul Sartre

1962 | 19-05-2013
“Qui donc aimera les pauvres si les pauvres ne s'aiment pas entre eux?”

Jean-Paul Sartre

1959 | 19-05-2013
“Voici une porte, par exemple: elle est là, avec ses gonds, son loquet, sa serrure. Elle est vérouillée avec soin, comme si elle protégeait quelque trésor.”

Jean-Paul Sartre

1959 | 19-05-2013
“Si l'on tient la liberté pour le principe et le but de toute activité humaine, il est également faux que l'on doive juger les moyens sur la fin et la fin sur les moyens.”

Jean-Paul Sartre

1959 | 19-05-2013
“Je ne puis prendre ma liberté pour but, que si je prends également celle des autres pour but.”

Jean-Paul Sartre

1959 | 19-05-2013
“Il regarda l'eau, onduleuse et gonflée avec des fluorescences d'opale.”

Jean-Paul Sartre

1958 | 19-05-2013
“La lumière remontait de la poitrine au front, rasait les lèvres fardées, dorait un léger duvet blond, au coin des lèvres, rougissait un peu les narines.”

Jean-Paul Sartre

1958 | 19-05-2013